Gilles Legardinier, Demain, j’arrête !, Fleuve Noir, Paris, 2011
Ce roman donne le sourire et fait parfois rire ! Attention à l’endroit où vous le lisez, vous risquez de vous faire remarquer !
Julie sort d’une mauvaise rupture, s’embête dans son boulot mais adore la petite ville dans laquelle elle vit. Le jour où un nouveau voisin emménage dans son immeuble, le nom de ce locataire la fait rire et l’intrigue : Riccardo Patatras. A partir de là, elle est complètement obnubilée par cet homme qu’elle n’a jamais vu : elle l’espionne par l’oeillet de sa porte, guette son courrier… Et elle ira encore plus loin, une fois qu’elle l’aura enfin vu ! Et vous, quelle est la chose la plus insensée que vous ayez jamais faite ?
Les situations sont burlesques, le ton de ce roman est à l’humour. Rien de sérieux, il est un remède efficace contre les petites déprimes et un bon moyen de se vider la tête quelques heures. Les personnages sont attachants, parfois un peu niais mais on pardonne facilement à l’auteur puisqu’il réussit le challenge de nous faire rire !
Legardinier nous offre un roman bien écrit et bien construit, simple et sans prétention, mais qui nous permet également de réfléchir, comme le fait Julie, sur ce que nous désirons faire dans la vie, nos prétentions et nos ambitions et ce qui compte le plus pour nous. Et s’il suffisait d’être heureux et d’être en paix avec soi-même ?
Ma note : 3/5
Je connais ce sentiment d’avoir un voisin pour le moins…. comment dire, voilà quoi !
Sauf que le mien, c’est celui de l’immeuble d’en face, qui est très certainement dans sa cinquantaine et qui adore s’exhiber nu sur son balcon (parce-qu’il croit que personne ne peut le voir tout en haut au 6e étage, enfin j’espère). Ce n’est pas vraiment le canon de beauté latino que l’on pourrait espérer (pourquoi ?!)…!
J’aimeJ’aime
Ah oui… Bon là, l’héroïne a plutôt de la chance, il a l’air assez canon le mec… Mais il ne s’exhibe pas nu, on ne peut pas tout avoir !
J’aimeJ’aime